jeudi 9 mai 2013

l’énergie humain...définition..origine ..exemple..plus



l’énergie humain



définition:


L'énergie est la capacité d'un système à produire un travail1, entraînant un mouvement ou produisant par exemple de la lumière, de la chaleur ou de l’électricité. C'est une grandeur physique qui caractérise l'état d'un système et qui est d'une manière globale conservée au cours des transformations. L'énergie s'exprime en joules (dans le système international d'unités) ou souvent en kWh (Kilowatt-heure).
Outre l'énergie au sens de la science physique, le terme « énergie » est aussi utilisé dans les domaines technologique, économique et écologique, pour évoquer les ressources énergétiques, leur consommation, leur développement, leur épuisement, leur impact écologique. Les principales ressources énergétiques sont les énergies fossiles (le gaz naturel, le charbon, le pétrole), l’énergie hydroélectrique, l’énergie éolienne, l’énergie nucléaire, l’énergie solaire, l'énergie géothermique....

Les activités économiques telles que les productions industrielles, le transport, le chauffage des bâtiments, l'utilisation d'appareils électriques divers, sont consommatrices de beaucoup d'énergie ; l'efficacité énergétique, la dépendance énergétique, la sécurité énergétique et le prix de l’énergie y sont des préoccupations majeures.
Une sensibilisation accrue aux effets du réchauffement climatique a conduit ces dernières années à un débat mondial sur la maîtrise des émissions de gaz à effet de serre et à des actions pour leur réduction. Cela conduit à envisager des transformations des modes de consommation énergétique (transition énergétique), pas seulement en raison des contraintes liées à l'épuisement de l'offre, mais aussi à cause des problèmes posés par les déchets, l'extraction des énergies fossiles, ou certains scénarios géopolitiques.


l'origine de la force aux niveau du corps:


Quelle est cette force psychique qui a soudain mobilisé toutes les forces de Caroline ? L’amour, ou plus exactement le désir – et son exemple semble donner raison à Freud, pour qui ce désir est avant tout sexuel. Mais qu’en est-il pour le voyageur qui, à moitié endormi par un long trajet, se réveille pour courir vers la file de taxis à la sortie du train ? Eric Albert, psychiatre et fondateur de l’Institut français d’action sur le stress, ne conteste pas l’importance de la sexualité dans notre énergie de vie, mais ajoute : « le désir sexuel ne reflète pas le vaste champ des émotions que nous vivons, de la culpabilité à l’envie, en passant par l’anxiété, l’impatience, la surprise, la colère ou la joie. Selon l’approche cognitiviste, ces émotions sont bien plus essentielles, elles déterminent nos comportements, nos attitudes »… et notre tonus. Conciliant, il ajoute : « Pour moi, les deux visions se complètent : Freud donne à l’énergie une source presque physiologique. J’ajoute une source émotionnelle plus proche du vécu. »
Ajout légitime. Si l’on ne sait pas mesurer la "consommation en carburant" d’une émotion spécifique, on sait aujourd’hui, mieux qu’à l’époque de Freud, comment et à quel point l’émotionnel agit sur notre corps. « Physiologiquement, explique Eric Albert, les émotions produisent et diffusent dans l’organisme – via le système thyroïdien, les glandes surrénales, l’hypophyse et les gonades – des neurotransmetteurs et des hormones qui interviennent soit sur un organe, soit sur l’ensemble du métabolisme. » Ainsi, Caroline comme notre voyageur pressé ont mobilisé instantanément leurs forces grâce à une sécrétion- réflexe d’adrénaline, qui accélère le rythme cardiaque et augmente le tonus musculaire.
Et tandis que la jeune femme a eu recours à beaucoup de dopamine pour pouvoir jouir de sa soirée, le voyageur, s’il trouve son taxi, vivra la version discrète de la même expérience : un soulagement passager. Sinon, son impatience pourrait se transformer en anxiété : une baisse de sérotonine le rendrait alors incapable de transformer en un plan d’action efficace l’énergie que l’adrénaline vient de mobiliser en lui, et nous le verrions tourner en rond, fin prêt pour une colère ou une phase d’abattement, émotions très complexes engageant plusieurs ingrédients. Car l’énergie non consommée se retourne contre nous.

types de transformation énergétique aux niveau du corps:
le glucose à l’énergie:
Toutes les cellules du corps humain sont capables d'utiliser le glucose pour produire de l'énergie. Cette énergie se présente sous la forme de la molécule d'ATP (Adénosine TriPhosphate). Certaines cellules ont un besoin impératif de glucose comme source d'énergie : c'est le cas en particulier des cellules nerveuses.
Cette production d'énergie se réalise en deux temps : la glycolyse, puis la respiration au sein des mitochondries.
De manière très schématique, la glycolyse permet la dégradation de glucose en pyruvate :
Cette dégradation s'accompagne de la synthèse, au bilan, de deux ATP, molécules énergétiques utilisables par la cellule. Dans le cas le plus général, les pyruvates formés sont ensuite dégradés lors du cycle de Krebs, au sein des mitochondries. Ceci s'accompagne de la formation, transitoire, de molécules d'acétyl-Coenzyme A (acétyl-CoA). Dans certains cas, les pyruvates permettent la réalisation d'un fermentation, qui régénère les NAD+ indispensables au fonctionnement de la glycolyse.
La dégradation complète du pyruvate permet donc, grâce à la chaîne respiratoire, la formation d'ATP.
En conclusion, le glucose, grâce à la glycolyse, au cycle de Krebs et à la chaîne respiratoire, permet la production d'énergie utilisable par la cellule.

lipides à l’énergie:

De même que la dégradation du glucose permet une production d'énergie dans la cellule, sous forme d'ATP, la dégradation des acides gras (des lipides) permet aux cellules d'obtenir l'énergie nécessaire à leur survie. Cette dégradation se réalise dans la mitochondrie, selon un ensemble de réactions regroupées sous le terme d'hélice de Lynen (ou béta-oxydation des acides gras) :
A chaque "tour" de l'hélice de Lynen, l'acide gras "perd" deux Carbones, sous la forme d'une molécule d'acétyl-CoA. Cette molécule d'acétyl-CoA entre alors dans le cycle de Krebs, d'où une production d'énergie (voir le devenir du pyruvate ci-dessus).
La dégradation des lipides permet donc ainsi la synthèse d'une énergie utilisable par la cellule (ATP).


centre d’énergie de corps:

Il ya 49 chakras mentionnés dans les Canons védique, dont sept sont à la base; 21 sont en deuxième cercle, et 21 dans le troisième cercle. Selon le Vedis, il existe des canaux d'énergie multiples menant à des endroits différents de les chakras. Trois de ces chaînes sont de base. Le premier, appelé «Shushumna", est creux et est concentrée dans la colonne vertébrale. Les deux autres voies d'énergie, "Ida" et "pingala", sont situées de chaque côté de la colonne vertébrale. Ces deux canaux sont les plus actifs dans la plupart des gens, tandis que "Shushumna" reste stagnante.
Les sept chakras de base tournent à des vitesses élevées dans le corps des individus en bonne santé mais ralentir en cas de maladie ou avec l'âge. Lorsque le corps est dans un équilibre harmonieux, les chakras rester partiellement ouverte. Chakras fermés sont pas en mesure de recevoir de l'énergie, conduisant à des troubles divers.
Le chakra de base en premiers ", Muladhara», est situé à la base de la colonne vertébrale dans la région de coccyx. Énergie de la vie, qui est au cœur d'un système immunitaire fort et en bonne santé, est stockée dans ce chakra. Il est impossible pour une personne à devenir malades, âgées ou même à mourir, avant d'épuiser ses réserves de cette énergie vitale. La volonté même de la vie est contrôlée par Muladhara. Il est également en charge de l'os et les articulations, les dents, les ongles, le système urogénital et le gros intestin. Les premiers symptômes de dysfonctionnement Muladhara sont la peur déraisonnable, évanouissements, manque de sécurité ou de foi en l'avenir, des jambes et des problèmes de pied, et les troubles intestinaux.
L'activité interrompue du chakra Muladhara provoque un manque d'énergie, les problèmes digestifs, les maladies des os et la colonne vertébrale, et la tension nerveuse chez les autres.
Le deuxième chakra, "Svadhistana», est situé au niveau du sacrum, trois ou quatre doigts au-dessous du nombril. Ce chakra régit le bassin, les reins et les fonctions sexuelles. Nous nous sentons aussi les émotions des autres peuples à travers ce chakra. Les symptômes d'un dysfonctionnement "Svadhistana" sont des problèmes rénaux, cystite et l'arthrite.


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