dimanche 12 mai 2013

le cerveaux humain ...définition..structure.. fonctionnement..et plusd

le cerveaux humain:



définition:


Le cerveau est le principal organe du système nerveux des animaux. Au sens strict, le cerveau est l'ensemble des structures nerveuses dérivant du prosencéphale (diencéphale ettélencéphale). Dans le langage courant, ce terme peut désigner soit l'encéphale dans son ensemble, soit le télencéphale ou le cortex cérébral.
Chez les vertébrés, le cerveau est situé dans la tête, protégé par le crâne, et son volume varie grandement d'une espèce à l'autre. Par analogie, chez les invertébrés, le cerveau désigne certains centres nerveux.
Le cerveau régule les autres systèmes d'organes du corps, en agissant sur les muscles ou les glandes, et constitue le siège des fonctions cognitives. Ce contrôle centralisé de l'organisme permet des réponses rapides et coordonnées aux variations environnementales. Les réflexes, schémas de réponses simples, ne nécessitent pas l'intervention du cerveau. Toutefois, les comportements plus sophistiqués nécessitent que le cerveau intègre les informations transmises par les systèmes sensoriels et fournissent une réponse adaptée.....

Le cerveau est une structure extrêmement complexe qui peut renfermer jusqu'à plusieurs milliards de neurones connectés les uns aux autres. Les neurones sont les cellulescérébrales qui communiquent entre elles par le biais de longues fibres protoplasmiques appelées axones. L'axone d'un neurone transmet des influx nerveux, les potentiels d'action, à des cellules cibles spécifiques situées dans des régions plus ou moins distantes du cerveau ou de l'organisme. Les cellules glialessont le deuxième type cellulaire du cerveau et assurent des fonctions très diversifiées, centrées autour du support des neurones et de leurs fonctions.
Malgré de grandes avancées en neurosciences, le fonctionnement du cerveau est encore mal connu. Les relations qu'il entretient avec l'esprit sont le sujet de nombreuses discussions, aussi bien philosophiques que scientifiques.

structure de cerveaux:

Le cerveau humain adulte pèse en moyenne environ 3 lb (1,5 kg) avec une taille d'environ 1130 centimètres cubes (cm 3) chez les femmes et 1260 cm 3 chez les hommes, bien qu'il y est importante variation individuelle. Les cerveaux des hommes sont sur le plus lourd 100g en moyenne que d'une femme, même quand corrigée des différences de taille du corps, le cerveau est très doux, ayant une consistance semblable à de gélatine molle ou de tofu ferme. En dépit d'être appelée «matière grise», le cortex live est beige rosé en couleur et un peu de couleur blanc cassé à l'intérieur. La photo de droite montre une tranche horizontale de la tête d'un homme adulte, de la National Library of Medicine du projet Visible Human. Dans ce projet, deux cadavres humains (à partir d'un homme et une femme) ont été congelés puis coupés en fines sections, qui ont été individuellement photographiée et numérisée. La tranche ici est tirée d'une petite distance en dessous du haut du cerveau, et montre le cortex cérébral (la couche cellulaire alambiquée à l'extérieur) et la matière blanche sous-jacente, qui se compose de faisceaux de fibres myélinisées voyageant de et vers le cortex cérébral. A l'âge de 20 ans, un homme a environ 176,000 km et une femme, environ 149,000 km d'axones myélinisés dans leurs cerveaux.
Les hémisphères cérébraux constituent la plus grande partie du cerveau humain et sont situés au-dessus la plupart des autres structures cérébrales. Ils sont recouverts d'une couche corticale avec une topographie compliquée. Sous le cerveau se trouve le tronc cérébral, ressemblant à une tige sur laquelle le cerveau est attaché. A l'arrière du cerveau, sous le cerveau et derrière le tronc cérébral, le cervelet, une structure avec une surface horizontale sillonnée qu'il lui donne une apparence différente de n'importe quelle zone du cerveau. Les mêmes structures sont présentes chez les autres mammifères, bien que le cervelet n'est pas si importante par rapport au reste du cerveau. En règle générale, plus le cerveau, moins alambiqué le cortex. Le cortex d'un rat ou la souris est presque complètement lisse. Le cortex d'un dauphin ou une baleine, d'autre part, est plus compliquée que le cortex d'un être humain.
La caractéristique dominante du cerveau humain est''corticalisation''. Le cortex cérébral chez l'homme est si grand qu'il éclipse toutes les autres parties du cerveau. Quelques structures sous-corticales montrent des altérations qui reflète cette tendance. Le cervelet, par exemple, a une zone médiane reliée principalement aux secteurs moteurs sous-corticaux, et une zone latérale reliée principalement au cortex. Chez l'homme la zone latérale prend une fraction beaucoup plus importante du cervelet que dans la plupart des autres espèces de mammifères. Corticalisation se reflète dans la fonction ainsi que la structure. Dans un rat, l'ablation chirurgicale de l'ensemble du cortex cérébral laisse un animal qui est encore capable de marcher et interagir avec l'environnement. Dans un humain, des dommages cérébraux comparables cortex produit un état permanent de coma.
Le cortex cérébral est presque symétrique en forme extérieure, avec hémisphères gauche et droit. Les anatomistes divisent chaque hémisphère conventionnelle en quatre "lobes", le lobe frontal, le lobe pariétal, lobe temporal, et le lobe occipital. Il est important de réaliser que cette catégorisation n'est pas réellement découler de la structure du cortex lui-même: les lobes sont nommés d'après les os du crâne qui recouvrent eux. Il ya une exception: la frontière entre les lobes frontal et pariétal est décalé vers l'arrière au sillon central, un sillon profond qui marque la ligne où l'somatosensoriel primaire cortex et le cortex moteur primaire sont réunis.
Les chercheurs qui étudient les fonctions du cortex de la diviser en trois catégories fonctionnelles des régions ou des zones. Un composé des aires sensorielles primaires, qui reçoivent les signaux des nerfs sensoriels et des voies par des noyaux relais dans le thalamus. Primaire zones sensorielles comprennent l'aire visuelle du lobe occipital, l'aire auditive dans le lobe temporal, et la zone somato-sensoriel dans le lobe pariétal. Une deuxième catégorie est l'aire motrice primaire, qui envoie des axones vers les neurones moteurs du tronc cérébral et la moelle épinière. Cette région occupe la partie arrière du lobe frontal, directement en face de la zone somato-sensoriel. La troisième catégorie comprend les parties restantes du cortex, qui sont appelées les zones d'association. Ces zones recevoir les commentaires des aires sensorielles et les parties inférieures du cerveau et sont impliqués dans le processus complexe que nous appelons la perception, la pensée et la prise de décision. Le montant du cortex associatif, par rapport aux deux autres catégories, augmenter de façon spectaculaire quand on va des simples mammifères, tels que le rat et le chat, aux plus complexes, comme le chimpanzé et l'humain.

comment ce fonction le cerveaux humain:

Siège de nos émotions, de nos réflexions, notre identité, etc. notre cerveau est le quartier général du système nerveux. Plus de 10 milliards de cellules transmettent et reçoivent des messages des différentes parties de l'organisme. Découvrez l'essentiel sur la boite noire de notre organisme.

la mémoire humain:


Les recherches en neurosciences, ont donné naissance à la neuropsychologie. Cette nouvelle discipline établit désormais la passerelle entre la neurologie, science de la matière vivante, et la psychologie, science de l’esprit. Elle est riche d’applications dans le domaine du travail intellectuel.
D’autre part, les recherches ont abouti à une découverte fondamentale : Le cerveau humain est malléable à vie. Une stimulation régulière du cerveau permet de développer une excellente mémoire et de garder une bonne forme mentale.
Stimuler sa mémoire, ce n’est pas seulement apprendre par cœur des colonnes de chiffres ou passer des heures à résoudre des problèmes épineux. Au départ, il y a d’abord et surtout la prise de conscience :
  •  Éviter de stresser et de surcharger le cerveau
La plupart des gens qui souffrent d’une faible mémoire présentent des organes sains et capables de fonctionner correctement. En réalité, leur problème vient surtout du surmenage, du manque de sommeil, d’une mauvaise alimentation, d’une frustration ou d’un sentiment d’épuisement.
  •  Etre motivé
L’enthousiasme et l’envie de découvrir permettent d’obtenir de meilleurs résultats.
  • Comprendre le fonctionnement de la mémoire
Pour stimuler la mémoire il faut savoir de quels faits biologiques elle dépend.
Le cerveau dirige tous nos actes, relie les informations qui lui viennent du monde extérieur avec nos souvenirs et se fait ainsi le siège de notre conscience. C’est le cerveau qui est le maître de nos émotions et qui décide si nous allons éprouver de la colère ou de la joie. Il prend part à tout ce qui définit notre personnalité : notre corps, nos souvenirs, nos pensées, nos sentiments, notre manière d’appréhender le monde. C’est lui qui fait ce que nous sommes. La taille et le poids de notre cerveau n’ont par ailleurs pas d’importance.
 Le cerveau renferme une centaine de milliards de cellules nerveuses – les neurones – qui sont reliées les unes aux autres. Ces neurones se logent dans des cellules gliales (ou de soutien) et y puisent leur énergie. Les zones de contact entre deux neurones - les synapses- fonctionnent comme des relais électriques et permettent la transmission des signaux. C’est ainsi qu’un véritable réseau nerveux se constitue dans notre cerveau. Ce réseau ne représente que 2 à 3 % de la masse corporelle, mais utilise 20 % de notre énergie.
Le réseau neuronal : à l’intérieur du cerveau, des milliards de cellules nerveuses sont connectées les unes aux autres. Pour ce faire, chaque corps cellulaire possède des prolongements, les axones, qui vont le relier à des cellules partenaires ou à des muscles dont ils vont provoquer le mouvement.
Les biochimistes – qui étudient les substances et les réactions chimiques des organismes vivants – ont réussi à démontrer le rôle joué par certaines substances lorsque s’établissent les contacts entre neurones via les synapses. Parmi ces substances, on compte les neurotransmetteurs ou neuromédiateurs comme l’acétylcholine ou le glutamate et toute une série d’hormones et de protéines. L’un des objectifs de ces recherches est de mettre au point des médicaments grâce auxquels on pourrait soigner les maladies cérébrales graves provoquant de forts troubles de la mémorisation et de l’apprentissage.
Les dernières découvertes vont d’ailleurs dans le sens des principes de la stimulation mémorielle : les neurones qui viennent d’être stimulés sont plus faciles à stimuler pendant plusieurs heures, voire parfois, et en partie, pendant des semaines. Une stimulation répétée entraînerait ainsi une consolidation des liaisons nerveuses correspondantes. En d’autres termes, celui qui s’entraîne régulièrement et active toujours les mêmes liaisons, ancre plus profondément les informations apprises dans sa mémoire.
Le cerveau enregistre les informations suivant un processus complexe et très judicieux. De ce fait les informations ne se perdent pas facilement. Lorsque nous rappelons une information enregistrée dans notre mémoire, un grand nombre de cellules nerveuses sont activées. C’est ainsi que chaque information sauvegardée laisse une trace bioélectrique complexe dans notre cerveau, l’engramme.
Notre faculté d’associer des données préenregistrées et des nouvelles augmente encore considérablement les capacités de notre cerveau.
Grâce à des processus d’imagerie modernes les chercheurs sont parvenus à établir un schéma illustrant le chemin parcouru par les informations perçues via nos sens jusqu’à ce qu’elles parviennent dans notre mémoire, et le chemin de ces mêmes informations lorsqu’elles sont rappelées. Presque toutes les parties du cerveau participent au processus de la mémoire.
 

L’illustration ci-dessus montre, de façon très simplifiée, les parties du cerveau qui participent au travail de mémoire :
Le corps reçoit les informations…,
  • Le système sensoriel reçoit les informations de l’environnement par le toucher, l’odorat, le goût, la vue ou l’ouïe.
 … les évalue et les trie
  •  Ces informations passent par un premier « filtre », le rhinencéphale. Il s’agit d’une partie centrale du cerveau qui joue le rôle de réception et de centre de tri. Plusieurs structures y travaillent en étroite collaboration : il y la thalamus qui joue un rôle dans la conscience, la perception du temps et le système moteur. Sous le thalamus se trouve l’hypothalamus qui joue un rôle déterminant dans des besoins élémentaires comme la faim, la soif, le sommeil, les pulsions sexuelles. L’amygdale est le centre de contrôle des émotions ; elle associe ces dernières aux informations. L’hippocampe se charge d’orienter les informations vers la mémoire à courte ou à moyen terme ainsi que de répartir les nouvelles informations arrivées dans la mémoire dans les régions correspondantes du cortex cérébral.
 Puis il les stocke dans le cortex cérébral droit ou gauche…
  • Ensuite, les informations sont stockées, en fonction de leur nature, du côté gauche ou droit du cortex cérébral. Le cerveau stocke dans des ensembles neuronaux déterminés et dans le cervelet les aptitudes que nous avons intériorisées, comme le fait de savoir conduire ou nager.
 … et les rappelle pour les transformer en actes
  • Enfin, les contenus mémorisés sont rappelés, associés les uns aux autres, transmis à l’appareil locomoteur et transformés en actes ; selon les dernières découvertes, ces opérations auraient principalement lieu via des structures spécifiques des lobes frontaux et les pôles des lobes temporaux.



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